Gabriel Fauré : un centenaire réduit au service minimum.
Ne me parlez plus de ce musicien salonard, de ce moustachu vénérable et neigeux dont les morceaux suscitent des épidémies de bâillements ! Fauré, c'est ce vieux bonhomme barbant, ce parangon de chlorose "Belle-Epoque" où l'on traînasse son spleen !
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