- Les enfants de la mer, le 10 juillet,
- Wonderland, le royaume sans pluie, le 24 juillet,
- Le mystère des pingouins, le 14 août.
Tous furent distribués sous la barre des 200 copies. Ils bénéficièrent respectivement de 117, 163 et 93 salles ! Une combinaison si faible n'était pas d'évidence pour permettre le moindre succès de ces productions au box office... Il n'est pas surprenant que seul parmi les trois, Wonderland ait pu (un peu) tirer son épingle du jeu, ses 163 copies lui octroyant un léger avantage de fréquentation... Mais que fait la police ? Il suffit de se référer au numéro nouvellement paru de L'Ecran fantastique pour avoir la confirmation que Wonderland est le seul du trio à s'en tirer au box office, même si son score est dérisoire par rapport au Roi Lion...
Je suis donc parvenu à voir en salles deux des trois longs métrages d'animation cités, non sans mal cependant.
Le graphisme de Wonderland est empreint de ce style classique japonais que l'on s'attend à trouver dans l'animation nippone, et l'histoire, teintée d'humour et d'inventivité, vaut le détour, et s'avère supérieure au dessin lui-même.
Vu après Wonderland, Les enfants de la mer lui est graphiquement supérieur. Là aussi, le message écologique et fantastique fonctionne à plein, mais l'histoire elle-même, plus difficile à interpréter, nous laisse en proie aux interrogations et interprétations après la projection.
Quant au Mystère des pingouins (le plus mal loti en nombre de copies, je rappelle) je n'ai pas pu le voir et ne peux donc pas émettre de jugement à son encontre. Je patienterai jusqu'au DVD ou au blu-ray si toutefois ils sortent...
Prochainement : un pastiche journalistique étonnant, qui vous plongera au coeur des tourments de la Grande Guerre.
Je suis donc parvenu à voir en salles deux des trois longs métrages d'animation cités, non sans mal cependant.
Le graphisme de Wonderland est empreint de ce style classique japonais que l'on s'attend à trouver dans l'animation nippone, et l'histoire, teintée d'humour et d'inventivité, vaut le détour, et s'avère supérieure au dessin lui-même.
Vu après Wonderland, Les enfants de la mer lui est graphiquement supérieur. Là aussi, le message écologique et fantastique fonctionne à plein, mais l'histoire elle-même, plus difficile à interpréter, nous laisse en proie aux interrogations et interprétations après la projection.
Quant au Mystère des pingouins (le plus mal loti en nombre de copies, je rappelle) je n'ai pas pu le voir et ne peux donc pas émettre de jugement à son encontre. Je patienterai jusqu'au DVD ou au blu-ray si toutefois ils sortent...
Prochainement : un pastiche journalistique étonnant, qui vous plongera au coeur des tourments de la Grande Guerre.
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