Tout ce qui brille n'est pas or (proverbe).
Pourquoi, vous interrogerez-vous, m'intéresser du jour au lendemain à Flora Tristan, dont l'oeuvre romanesque n'est pas du tout fournie, si l'on excepte Méphis ? Ne fut-elle pas, à côté de George Sand, l'autre féministe de l'époque romantique ? Est-ce parce que Gauguin fut son petit-fils du côté des femmes ? Est-ce aussi pour une question de parité, alors que j'affiche l'intention de rompre temporairement avec celle-ci en traitant prochainement, coup sur coup, un dramaturge de la fin du XIXe siècle injustement oublié et à l'oeuvre introuvable, Henri Becques,
puis une fratrie d'auteurs de la première moitié du XXe siècle, tous deux académiciens, tous deux colonialistes et antisémites, les frères Tharaud ?
Oui, j'annonce d'ores et déjà le programme !